Ububabare kuri roho no kumubiri
La douleur, on l'anesthésie, on la surmonte, on l'ignore, et pour certains d'entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur c'est de foncer tête baissée.
Non non , dis rien c'est à moi de parler. J't'ai manqué ? Parce que toi, tu m'as manqué ! T'es un vrai tyran tu sais hein, c'est tellement dur d’etre avec toi hein. , j'aurais trop peur que tu crois que c'est un jeu.
Il existe un nombre effrayant d'addictions en tout genre. Ca serait trop facile si on ne s'accoutumait qu'à la drogue, à l'alcool, et aux cigarettes.
Je crois que le plus dur pour se débarrasser d'une mauvaise habitude, c'est de vouloir s'en débarrasser. J'veux dire, quand on devient accro, c'est qu'il y a une raison, non ? Souvent - trop souvent - certaines choses qui au départ prenaient une place normale dans notre vie deviennent envahissantes. Ça vire à l'obsession, c'est compulsif, incontrôlable. C'est l'état d'euphorie que l'on cherche à atteindre. Ce vertige délicieux qui nous fait oublier tout le reste. Mais le problème avec la dépendance, c'est que ça ne fini jamais bien. Parce qu'il arrive un moment où ce qui nous mettait dans cet état d'euphorie cesse de nous faire du bien et commence à nous faire mal. Il parait que l'on ne peut pas s'en sortir avant d'avoir touché le fond. Mais comment sait-on qu'on a touché le fond ? Parce que quand on est accro, même si ça fait mal, parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
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